Que puis-je dire ? Cette fenêtre est un secours pour le juif que je suis, quelque peu isolé. cela me remplit le coeur de lire cette langue, que j'aime comme une soeur lointaine, car je ne la connais pas assez. J'ai tant envie de la savourer pleinement. Quand j'étais enfant, je voulais une langue belle, souple comme un roseau près d'une rivière, mais si belle, qu'elle puisse dire le contraire de ce qu'elle affirme. Et, plus j'étudie, plus l'hébreu me semble cette langue, que j'ai tant cherché comme cette soeur aimée.
Arié
- De
brazovsky
le 11/10/2002.
Pays: France
Région: Bretagne
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